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Les Priapiques

Cum cunno mihi mentula est vocanda.

Sept raisons de sortir avec des motards

1. Le cuir, putain. Le cuir !

2. Par définition, un motard sait manier la poignée. C’est une compétence qui peut toujours s’avérer utile à un moment ou à un autre.

3. Quand tu es passager, tu dois t’agripper au pilote quand il accélère, tu es collé contre lui quand il freine, et tu dois faire corps avec lui dans les virages. Plein d’occasions de le tripoter en toute innocence ! (Très pratique si tu as jeté ton dévolu sur un hétéro, j’ai abondamment testé quand j’étais ado.)

4. Les fringues de motard sont étanches, donc facilement lavables. Bill Clinton n’aurait jamais été trahi par une tache de sperme si Monica Lewinsky avait porté des fringues de motard plutôt qu’une robe.

5. Les blousons de motard sont taillés en V, serrés à la taille (pour éviter les vêtements qui flottent au vent) et larges aux épaules (à cause des protections en plastique). Toi, je sais pas, mais moi, un mec taillé en V, ça me met dans tous mes états.

6. Les motards adorent se faire des virées en bande, le genre de truc très viril avec plein de gomme brûlée et de testostérone. Accompagne-les et une fois arrivés dans un coin désert, arrange-toi pour que le pique-nique dérape en plan abattage !

7. Le casque. De préférence intégral. Un casque, c’est exactement la même chose qu’un glory hole : un moyen de sucer un mec sans voir son visage. Tu connais quelque chose de plus excitant ? Moi pas.

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Jeux de mains

Celui-là n’en revenait pas que je parle latin. Son sourire ébahi, ses yeux pétillants trahissaient le type qui a trop regardé Russell Crowe en jupette quand il était adolescent. Je sentais qu’il avait une idée derrière la tête.

— Mais alors, tu sais dire plein de trucs ?
— Bah, je me débrouille… Mais tu sais, c’est une langue plutôt écrite, on n’a pas souvent l’occasion de la parler.
— Hum, ça peut s’arranger, ça. Par exemple, comment dirais-tu « chéri je veux ta bite » ?
Mel ! Mentulam tuam volo !
— Trop cool ! Et, euh, comment dirais-tu « tu suces comme un dieu » ?
Fellas simili deo.
— Génial. Attends-moi une seconde.

Il s’éclipsa dans la pièce voisine et en revint quelques instants plus tard, trainant au sol une lourde malle. Il l’ouvrit. Sous mes yeux, la parfaite panoplie du gladiateur amateur : cordages, filets, bracelets de cuir, casques, faux glaives, etc.

Visne mecum gladiatoribus ludere ?

Si je voulais jouer avec lui aux gladiateurs ? J’ai accepté immédiatement, tu penses bien.

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Seize raisons pour tenter le plan à trois

1. Tu as deux trous, ils ont deux bites. Le calcul est vite fait.

2. Pas besoin de choisir si tu fais le passif ou l’actif : débrouille-toi juste pour être celui du milieu et tu feras les deux en même temps !

3. À trois, il y a toujours quelqu’un qui a une main libre pour tenir l’appareil photo.

4. Ça répartit le coût des capotes et du gel sur une personne de plus.

5. On ne refuse jamais une occasion de s’entrainer à sucer deux bites à la fois.

6. Avoir un troisième avis impartial te permettra enfin de trancher la question de savoir si c’est toi ou ton copain qui a la plus grosse.

7. C’est plus facile de clouer un mec au lit si on est deux pour lui tenir à la fois les jambes et les épaules.

8. C’est l’occasion inespérée d’être celui-là qui est cloué au lit.

9. Ça te fera enfin un truc intéressant à raconter sur ton blog.

10. Sur vous trois, il y en aura au moins un dont l’abonnement à citebeur n’aura pas expiré.

11. Avec un troisième gars dans les parages, pas besoin de t’arrêter de sucer pour aller changer le DVD dans le lecteur.

12. Regarder deux mecs baiser est carrément excitant.

13. Être regardé en train de baiser est encore plus excitant.

14. Si tu jutes en premier, tu n’as pas à te sentir coupable, les autres peuvent continuer à s’amuser et en plus, tu peux aller prendre ta douche pendant qu’il y a encore de l’eau chaude.

15. Si un des gars est trop bavard, on n’a jamais trop de deux queues pour lui occuper la bouche.

16. Trois mecs, trois giclées. Et si tu te débrouilles bien, tu peux toutes les recevoir sur ta poitrine !

(D’après une illustration américaine dont j’ignore totalement l’origine.)

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Bondage (7)

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La route du sexe

La perspective d’un week-end en Bretagne se rapproche. Faire la route, ça m’a toujours fait fantasmer. En vertu du théorème qui affirme que l’herbe est plus verte ailleurs, et aussi en vertu du principe que j’ai déjà baisé avec tous les mecs habitant dans un rayon de 10 km autour de chez moi et que j’aimerais bien changer d’air, je m’imagine toujours qu’à l’autre bout de la France, il y a des garçons incroyables à découvrir et des expériences sensationnelles à vivre.

Le fantasme ultime, ce serait une route du sexe. La sécurité routière le rabâche à longueur de panneaux lumineux : toutes les deux heures, la pause s’impose. Appliquons le principe au pied de la lettre ! Un peu de route, un petit câlin à Chartres. Un peu de route, une petite pipe au Mans. Un peu de route, une branlette à Laval. Un peu de route, une bonne sodo à Rennes. Un peu de route, un plan abattage à Lorient. Un peu de route, bondage à Quimper. Tu vois le genre.

C’est sûrement impossible à organiser en pratique, trouver autant de mecs, dans autant de villes, tous disponibles le même jour et aux bons horaires, qu’aucun ne pose de lapin… Mais en théorie, miracle d’internet et des sites de rencontre, c’est faisable. Et le simple fait que ce soit théoriquement faisable va suffire à ce que je fasse toute la route dans un état d’excitation terrible !

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Sucettes

Sur les sites de rencontre pour les garçons qui aiment les garçons, on croise souvent des mecs qui placardent sur leur profil des photos d’eux en train de sucer. Quelle curieuse habitude. Moi, naïvement, je croyais que sur ce genre de site, on essayait de se vendre, de se rendre désirable, de se présenter sous son meilleur jour, or il me semble que personne n’a l’air particulièrement à son avantage avec une bite dans la bouche.

Peut-être qu’ils veulent juste montrer qu’ils sucent. Je ne vois pas trop l’intérêt, sucer c’est la base, tout le monde le fait. Plus ou moins bien d’ailleurs, mais ça, de toute façon, ça ne se voit pas sur une simple photo. Ils feraient mieux de montrer ce qu’ils font d’autre. Je sais pas moi, jouer avec des cordes ou des baillons, enculer des skets, des trucs rigolos et qui rendent bien en photo, quoi…

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Skets !

L’inconvénient d’avoir une paire de Reebok avec laquelle il m’est arrivé occasionnellement de participer à des plans skets, c’est que même si je les adore, je ne peux plus les porter en d’autres circonstances. Imagine que je les mette pour aller bosser. Il suffirait qu’à un moment quelconque de la journée mon regard se pose dessus pour qu’instantanément, plein d’images me reviennent en mémoire ! Je crains que ça me mettrait dans un état, disons, peu compatible avec une activité professionnelle normale…

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Des bons coups

Je trouve ça mignon, les types qui se vantent d’être des bons coups. Les pauvres, un petit détail a dû leur échapper, prouvant par-là même que justement, ils ne sont pas des bons coups : il n’y a pas deux partenaires qui aiment la même chose.

Oh, bien sûr, tout le monde aime grosso modo la branlette, la pipe, éventuellement la sodo… Chez les mecs, le sexe est quand même assez mécanique, il suffit de tripoter les bons points sensibles pour que ça parte tout seul. Mais entre éjaculer et jouir, entre une simple baise et un bon coup, le bon coup que ces types prétendent être, il y a une putain de sacrée marge.

Cette marge, c’est par exemple le fait que nous n’avons pas tous les mêmes fantasmes. Le plus adroit des amants ne te fera jamais grimper aux rideaux s’il a une tête qui ne te revient pas, s’il est gros alors que tu préfères les minces, s’il est imberbe alors que tu préfères les poils, s’il est branché cuir alors que tu préfères la lingerie fine. Cette marge, c’est aussi le fait qu’il n’y a pas deux mecs qui aiment se faire branler pareil, se faire sucer pareil, se faire prendre pareil. Certains aiment la vitesse, d’autres la lenteur ; certains aiment la poigne, d’autres préfèrent les douces caresses du bout des doigts, d’autres encore ne jurent que par l’alternance des deux ; certains aiment quand ça glisse bien, d’autres préfèrent une lubrification a minima. Et puis cette marge, c’est aussi un bête problème de hasard et d’anatomie. Pour que la bite du gars viennent pile-poil te chatouiller la prostate, il faut une coïncidence de forme et de taille entre tes organes et les siens qui ne se présente pas tous les jours.

Le bon coup universel n’existe pas. Il y a des bons coups ponctuels, des mecs avec qui ça colle particulièrement bien, avec qui on est particulièrement sur la même longueur d’onde (et encore, juste à un moment donné : une semaine plus tôt ou plus tard et ça n’aurait peut-être pas marché aussi bien). Mais un bon coup en général, un mec qui ferait jouir comme jamais la majorité des autres mecs, tout le temps, à chaque fois ou presque ? Mouarf. Laisse-moi rire. J’ai plutôt l’impression que dans le sexe comme dans tous les autres domaines, ce sont ceux qui se vantent le plus qui s’y connaissent le moins.

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