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Inaugurons ce blog en citant un célèbre poème latin (hélas anonyme, mais vraisemblablement de Virgile ou d’Ovide) :

Obscenis, peream, Priape, si non
Uti me pudet improbisque verbis
Sed cum tu posito deus pudore
Ostendas mihi coleos patentes
Cum cunno mihi mentula est vocanda

Traduction approximative : que je meure, Priape, si je ne rougis pas d’employer des mots obscènes ; mais quand je te vois, divinité sans pudeur, me montrer ouvertement tes couilles, l’envie me vient de parler de bites et de chattes !

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